40% des membres en France possèdent une garde-robe majoritairement composée d’articles de seconde main

Vinted dévoile aujourd’hui les résultats de son Rapport d’impact, réalisé en collaboration avec Vaayu. Celui-ci inclut des enseignements sur les profils de sa communauté et leurs nouveaux modes de consommation.

 

Chiffres clés

  • 40% des membres en France possèdent une garde-robe majoritairement composée d’articles de seconde main.
  • 25% des membres en France achètent moins d'articles de mode depuis qu'ils utilisent Vinted.
  • 53% des membres déclarent dépenser moins d'argent pour des articles de mode depuis qu'ils ont commencé à acheter sur Vinted.
  • En 2023, les membres de Vinted ont pu économiser 679 kilotonnes d'émissions de CO₂ en privilégiant l'occasion au neuf.

 

Vinted, la plus grande plateforme européenne en ligne dédiée à la revente de vêtements de seconde main entre particuliers, révèle les résultats et enseignements de son Rapport d’impact, issus d’une vaste étude menée auprès de plus de 100 000 membres Vinted à travers la France, la Belgique, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne et le Royaume-Uni.  

 

Parmi les principaux enseignements, on note que la seconde main s’ancre solidement dans les habitudes de consommation des Européens, et plus particulièrement dans celles des Français. Désormais, une large majorité des membres Vinted considèrent en effet la qualité des articles de seconde main comme étant équivalente à celle des produits neufs. Ils s’assurent également d’acheter des articles neufs de meilleure qualité et en prennent soin, afin de pouvoir les revendre puis de réinvestir l’argent dans des articles de seconde main. 

 

De nouvelles habitudes émergent : consommer moins, pour consommer mieux 

 

Côté acheteurs, l’attrait pour les produits de seconde main et leur place grandissante dans la vie des membres Vinted se confirme. Pour beaucoup, les articles de seconde main représentent même la majorité de leur garde-robe. En effet, 65 % des personnes interrogées à travers l’Europe déclarent qu’au moins un quart de leur garde-robe est composé d'articles de seconde main. La France fait figure de bonne élève puisque 40 % des Vinties y possèdent une garde-robe majoritairement composée d'articles de seconde main, témoignant de leur engagement croissant envers une consommation plus durable.

 

La seconde main est devenue le premier choix pour de nombreux membres. En effet, 20 % d’entre eux indiquent qu’ils achèteraient des produits d'occasion, et ce même s’ils étaient vendus au même prix que des articles neufs. D’ailleurs, 84 % des membres Vinted considèrent que la qualité d’un article acheté sur Vinted est identique à celle d'un article neuf.

 

Leur consommation apparaît comme plus raisonnée, car plus de la moitié des membres (53 %) déclare dépenser moins d'argent pour des articles de mode depuis qu'ils ont commencé à acheter sur Vinted, tandis que seuls 14 % dépensent le même montant. Par ailleurs, 19 % déclarent acheter même moins d'articles de mode de manière générale depuis qu'ils ont commencé à utiliser la plateforme. Une fois de plus, les Français se distinguent, ce pourcentage atteignant les 25 % dans l’Hexagone. 

 

Pour aller plus loin, plus d’un tiers (36 %) des membres Vinted expliquent prendre soin de leurs articles dans l’espoir de les revendre par la suite. Dans la même logique, 22 % indiquent acheter des articles de mode neufs de meilleure qualité parce qu'ils savent qu'ils pourront ensuite les revendre plus facilement. En ce qui concerne les vendeurs, 81 % des membres qui estiment qu’ils n'auraient pas vendu leurs articles sans la plateforme ; un chiffre en hausse de 16 % depuis 2021. Un cercle vertueux se dessine, puisque 31 % des répondants à travers l’Europe réinvestiraient les bénéfices de ces ventes dans des articles de mode de seconde main, tandis que 18 % opteraient pour l’épargne (et même 38 % en France). 

 

Des nouvelles habitudes de consommation qui ont un impact positif sur le climat puisque les membres de Vinted ont ainsi permis d’économiser 679 kilotonnes d'émissions de CO₂ en 2023, en achetant de l'occasion sur Vinted plutôt que du neuf.  



Top 3 des profils adeptes de la seconde main 

Cette étude menée auprès de plus de 100 000 membres a permis d'identifier trois principaux profils d’utilisateurs. 

 

En tête, le consommateur en quête d’un meilleur pouvoir d’achat. En effet, la majorité des membres en France (51%, contre 48% au global) ont déjà acheté un article de seconde main parce que son prix était moins élevé que son équivalent neuf. D’ailleurs, pour près de 8 membres sur 10, acheter des objets d’occasion est, pour eux, le moyen d’accéder à des pièces de qualité qu'ils n’auraient pu s’offrir neufs. 

 

Le second profil qui se distingue est celui du consommateur conscient et responsable. Ainsi, 19% des membres Vinted à travers l’Europe ont arrêté d’acheter des articles neufs, dès que cela leur est possible. Ce pourcentage monte jusqu’à 26% pour la France où l’achat de produits de seconde main s’impose de plus en plus comme un choix naturel. 

 

Enfin, le dernier profil, peu présent en France, est celui du consommateur spontané. En Europe, 18% des membres ont déjà acheté spontanément un article alors qu’ils flânaient sur l’application, contre 12% seulement en France. 

 

Gen Z, Millenials : comment le comportement des membres diffère-t-il en fonction de l’âge ?


La génération Z - née entre 1997 et 2010 :

  • Elle est la plus susceptible d'économiser l'argent qu'elle a gagné en vendant un article.
  • Elle apprécie particulièrement les options plus abordables, les frais de port moins élevés et la diversité des articles proposés.
  • Elle privilégie les articles tendances et les nouveautés.

Les Millenials - nés entre le début des années 1980 et la fin des années 1990 :

  • Ils ont tendance à privilégier le neuf pour les articles de première nécessité.
  • Ils préfèrent réinvestir les gains issus de leurs reventes dans un nouvel article d'occasion.
  • Ils sont particulièrement attentifs aux montants des frais de port et à la possibilité de retours gratuits.



Les engagements de Vinted pour réduire son empreinte carbone

 

Afin de limiter son impact sur le climat, Vinted a établi un plan d'actions visant à réduire ses émissions carbone, plan aligné sur les objectifs de l’Accord de Paris. Vinted s'engage ainsi à réduire les émissions de ses propres activités en se fixant des objectifs en conformité avec l’initiative Science Based Targets (SBTi). L’objectif : réduire les émissions conformément aux objectifs énoncés dans l'Accord de Paris, c’est-à -dire atteindre zéro émission nette d'ici 2050 et limiter le réchauffement climatique à 1,5℃ par rapport à l’ère préindustrielle.

 

Les émissions liées aux livraisons représentant 98 % de l’empreinte carbone totale de Vinted, l’entreprise concentre donc ses efforts sur les opérations logistiques. Pour les réduire, Vinted veille à promouvoir les livraisons en point de retrait, et investira dans des options de livraison à plus faible émission. Ces engagements s'appliquent à sa propre logistique - avec Vinted Go - mais aussi aux transporteurs tiers. Vinted se fixe également des objectifs pour réduire de manière significative les émissions liées au chauffage et à la consommation d'électricité. 

 

Marianne Gybels, Directrice du développement durable chez Vinted déclare : « Dans ce rapport, nous cherchons à dépasser la simple évaluation de notre empreinte carbone pour examiner l'impact global de nos actions sur la vie et les habitudes de consommation de nos membres. Nous prenons conscience de l'ampleur de l'impact du marché de la seconde main, ce qui constitue à la fois une avancée significative dans la lutte contre le changement climatique et une évolution positive des habitudes de consommation. Chez Vinted, notre ambition est de faire de la seconde main le premier choix pour les consommateurs. Les données de ce rapport confirment que cette démarche progresse chaque année : les consommateurs accordent de plus en plus d'importance à leur manière de consommer, à leur empreinte climatique et à leur budget, et nous sommes là pour les accompagner dans cette démarche Parallèlement, chez Vinted, nous développons notre stratégie de développement durable et nous engageons à réduire les émissions liées à nos propres activités. »

 

Consultez le rapport complet ici

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1.Le Rapport d'impact de Vinted est une étude basée sur une analyse indépendante menée par la start-up Vaayu auprès de 94 400 membres répartis en France, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas, Pologne, Allemagne et Italie. Ce rapport  inclut également les propres recherches de Vinted menées auprès d'un échantillon représentatif de 13 000 acheteurs de la plateforme. À noter que si certains chiffres relatifs au marché français n’apparaissent pas dans le Rapport d’impact final, tous les chiffres cités dans le cadre de ce communiqué de presse sont issus de l’enquête menée par Vaayu ou de la recherche de Vinted menée auprès de ses membres.

2. Dans le cadre de cette analyse, les émissions évitées font référence à la proportion d'émissions de carbone évitées (ou « économisées ») grâce à l'achat de produits de seconde main sur Vinted comparé à l'achat de produits neufs ailleurs. Cela ne signifie pas qu'un produit acheté sur Vinted ne génère aucune émission de carbone, mais il s'agit d'une méthode utile pour comparer l'impact climatique d'un choix par rapport à un autre.